Guilde Venecia

Après avoir patienter plusieurs minutes dans une vaste pièce ronde savament décorée par des peintures en tout genre, le chevalier Artorus est enfin introduit auprès du Baron.

Au nom de la guilde Venecia et de son baron Pimousse, je vous présente mes salutations ainsi que le renouvellement de notre alliance avec votre guilde, Baron Flo le beau. En gage de bonne foi, mon baron m'a demandé de vous offrir ces quelques vases ornés de pierres précieuses.

Je me présente, Artorus, chevalier et ambassadeur vénecien. A ce titre, je suis chargé par mon baron d'entretenir les relations diplomatiques avec nos alliés. Dorénavant, si vous avez une remarque, une plainte ou même une demande à formuler à la guilde, vous devrez m'en faire part à moi (ou à ma collègue en cas d'indisponibilité) soit par MP sur Alidhan, soit en allant directement à l'ambassade de notre guilde (http://venecia.forumactif.com/Ambassade-c6.htm) lorsque les travaux d'amménagement seront finis (ouverture prévu pour demain matin 8h00).
Je vous invite également à venir vous présenter à l'ambassade afin de nous raconter un peu l'histoire de votre guilde et de faire plus ample connnaissance avec votre propre ambassadeur.

En ce qui concerne la cité de Venecia, voici son histoire telle que vous pouvez la trouver dans les livres :

Dominant toutes les vallées, les Montagnes enneigées de l'Est surveillent les terres d'Alidhan. Au sommet de l'une des plus belles d'entre elles se tient une citée puissante et magnifique, une citée totalement imprenable : la cité de Venecia.
A l'abri de ses murs, les soldats portant les couleurs de Venecia et destinés à servir le roi Mandural y étaient entraînés sans relâche, les dragons les plus fidèles et les plus puissants y etaint apprivoisés. Le grand Kaldrass lui même y passa une partie de son enfance, afin d'avoir une éducation sage.

Aprés la mort du Bon Roi, suivant la tradition ancestrale, Venecia mit sa puissance au service du Roi Kaldrass. Malheureuseument, la nuit ou Galoregor le Putride prit le pouvoir, les forces véneciennes n'arrivèrent pas à temps sur le champs de bataille.

A présent, les forces de Venecia sont réunies en une guilde portant le nom de la cité en passe de devenir l'une des plus puissantes que le pays d'Alidhan ait connue, et le trône sera rendu au Roi Véritable !

Voila, j'espère que nos relations ne s'en porteront que mieux et avoir de vos nouvelles rapidement.

A si j'oubliais, mon baron souhaitais que je rappel quelques règles de l'alliance entre nos deux guildes :
-pas de vol entre allier
-pas de MP de provocation, d'aucune nature
-porter secour à l'allier dans le besoin, si possible, mais dans tous les cas obligation de l'avertir du danger.

Ces règles, rassurez-vous ne sont que des rappels et aucuns de ces faits ne vous sont reprochés. Ils sont bien évidement suivit par les membres de la guilde. En cas de réclamation, de souci ou même tout simplement pour discuter et faire plus ample connaissance, contactez moi ou venez sur le forum.

Voila, si vous n'avez pas de question, je m'en retourne auprès des miens faire mon rapport à mon baron.

cool tu fais des RPs ?
dommage que je nesoit pas dedans j'y aurai repondu sinon (en RP aussi)

(Dis moi où on peut se retrouver pour faire un rp et je viendrais)

Bonjour à vous, membres de la guilde Dragons des ténèbres, je vous apporte juste un parchemin sur lequel est inscrit tous les noms des menbres de ma guilde. Le voici.





Voila, je vous invites chaleureusement à venir nous rendre une petite visite. Il n'y a qu'à suivre la carte : http://venecia.forumactif.com

De passage dans la région, Artorus décida de faire un petit détour pour venir saluer ses alliés les Dragons des Ténèbres et ce'est ainsi qu'il se présentat naturellement aux portes de la guilde.

Salutations à tous. Comment...
Hohe, y a quelqu'un?
C'est le chevalier Artorus, ambassadeur de Venecia, y a quelqu'un?

Bon ben tant pis, je vais m'assoir dans un coin et patienter quelques instants, pensa-t-il.
Avisant alors un siège, il se dirigea vers celui-ci et s'installa aussi confortablement qu'il le pu.

Alors qu'Analune entre dans la pièce par une petite porte dérobée, un plat de galettes fumantes à la main, elle entend un bruit discret sur sa gauche. D'un sursaut elle fait volte-face, toutes griffes dehors.
Apercevant le seigneur Artorus, elle se radoucit, et pose son plateau sur une table à côté d'elle. Comprenant que le chevalier cherchait les membres de la guilde, elle s'adressa à lui dans ces termes :

Seigneur Artorus ! Quel bon vent vous ammenes ? Notre humble guilde n'est malheureusement pas à son poste, et de ses fidèles, il ne reste que moi.
En effet, Bill est parti il y a moins de cinq jours et a mystèrieusement disparu, comme il l'a déjà fait tant de fois auparavant. Falki et l'Espionne sont elles plutôt limitées dans leur possibilités de venir ici. Je suis donc ici seule, à monter la garde (très bien comme vous l'avez remarquer). Que puis-je pour votre plaisir ?

Sur ceux, Analune présente à Artorus un siège un peu plus confortable que le précédent et lui propose une galette en esperant qu'il ne fasse pas de régime.

Je vous remercie pour ces galettes, elles sont délicieuses, quoique que à peine trop chaude à mon goût, dit Artorus en en prenant une seconde.

Quand à votre proposition, rien ne me ferai plus plaisir que de passer un petit moment à discuter avec vous de votre guilde et de ses membres afin de mieux faire connaissance.

Par exemple d'ou vous venez, qu'est-ce qui vous à motiver à rejoindre les rangs des exilés.
Moi je suis né dans un petit chateau pas très loin de Nedmor, du temps du père de notre prince Kaldrass. Lorsqu'il fut temps pour moi de partir apprendre le métier des armes, mon père m'envoya à l'étranger où je restais de longues années afin de parfaire ma technique et mon expérience.
Lorsque le temps fut venu et que je retourna chez les miens, ce fut pour trouver le chateau en cendre, tous les miens massacrés et un traitre sur le trône de notre bonne vieille Alhidan. J'ai errer plusiseurs années sur les terres désolées de mes ancêtres, cherchant un moyen de me venger de ceux qui avaient fait ça mais en vain. Je finis tout de fois par comprendre que seul je n'y arriverais pas et qu'il me faudrait des compagnons d'arme. C'est ainsi que je rejoignis la guilde de l'Ordre des Dragonniers. Malheureusement pou rmoi, celle-ci fut anéantit quelques mois plus tard par un raid ennemi et beaucoup de mes nouveaux compagnons périrent.
Toutefois, grâce à Dieu, je réussis à sortir vivant de ce massacre mais pas indemne et après plusieurs mois de convalescence, je repris mon errance sur les chemins. C'est alors que j'ai appris que je n'étais pas le seul survivant et qu'un certain nombre d'entre nous s'en était sortit pour reformer une guilde, la guilde Venecia.
Et aujourd'hui grâce à elle et à mes compagnons d'armes, avec l'aide de nos alliés, le jour est proche ou je pourrais enfin venger les miens, en disant cela, un mélange de mélancolie et de fureur assombri le regard d'Artorus qui serra le poing si fort que ces ongles auraient pénétrer la paume de ces mains si il n'avait pas porter ces gants de cérémonie en tissus.

Un silence, à peine troublé par le chant des grillons à l'extérieur, tomba alors entre les deux convives, Artorus attrapant une troisième galette afin de se concentrer sur sa dégustation pour penser à autre chose.


(hrp désolé de ne pas avoir répondu plus tôt mais j'ai été pas mal pris)

merci pour le listing c'est sympa de ta part

Au bout d'un long moment de silence, Analune se décide à rompre le lourd silence qui avait envahit la pièce.

Votre histoire est touchante, et tant de gens sont dans des cas semblable ! C'est malheureux que dans un beau pays comme Alidhan, autant de monde puisse raconter pareilles horreurs sans mentir...
Personnellement, mon ralliment aux éxilés n'est pas très héroïque. En effet, alors que, étrangère je suis arrivée dans les terres d'Alidhan, une amie très engagée tentait me pousser à rejoindre son camp, les éxilés. Mais ne voulant pas me fier qu'a son seul avis je me suis mise à la recherche d'autres versions. J'ai parcouru les terre du royaume et je n'y ai vu que guerres et désolation. J'ai appris au cours de mon voyage à soigner, pour apporter un peu de soutien aux malheureux. De retour, j'était fort décidée à me rallier aux éxilés, qui m'ont accueillie avec joie.

Puis croquant dans une galette, elle se rendit compte combien elles étaient séchent, et partie une seconde et revint avec un piché d'hypocrasse et deux verres.

et les romanciers j'ai cré une partie rp si sa vous branche

Analune, après avoir écouté le recit d'Artorus, but une gorgée d'hypocrasse, délicieusement sucrée et épicée, et demanda :

Pourquoi avez vous choisit de rejoindre la guilde Venecia ?
Moi, je ne sais pas ce que c'est de choisir sa guilde, car j'y est était recrutée presque de force dès mon arrivée à Alidhan par mon amie qui en était la baronne. Je dois dire que même chez les êtres déterminés à ne pas quitter le chemin de l'honnêteté, la corruption est un bel appât.
C'est ce qui fait une des faiblesse de notre monde...
Je suis également quelque peu opposée aux guerres et alliances qui se créent entre les alignements. En effet, la plupart des combattants n'ont aucune idéologie propre... C'est à se demander si ils ont même une opinion...

Sur ce, Analune se resservi un verre d'hypocrasse.

Ben en fait, j'ai décidé de rejoindre Venecia car à l'époque, j'étais plus ou moins novice dans le jeu et cela faisait une semaine ou deux que je venais de rejoindre la guilde de Lordre des dragonniers et je mis sentais à l'aise, mes nouveaux compagnons étaient très sympas et je me suis vite intégré. Mais voila, tous les membres les plus actifs sont partis en un rien de temps et du coup je me retrouvais dans une guilde ou le forum était mort, avec des membres que je connaissais (car bien évidement ce sont ceux que je connaissais qui sont partis, les autres n'étant jamais venu sur le forum). Alors j'errai pendant un ou deux jours sur Alidhan, me demandant ce que j'allai faire, et là je reçois un MP d'un ancien membre, Julian, l'ancien baron de la guilde de lordre qui était partit et qui ma dits que certains des membres de lordre avait formé une nouvelle guilde et que j'étais le bienvenu si je le souhaitais. Alors ni une ni deux, j'ai couru chez Vorus et je me suis inscrit sur à Venecia. et depuis, je suis rester fidèle, la guilde montant très rapidement de niveau et recrutant des membres de valeurs, qui s'intégrait parfaitement.

Moi je suis au coeur d'un grand dilemme, je vais quitter cette guilde.
Avant, je m'y sentait bien, le forum était vivant, et les relations entre les membres plus nombreuses. Cela à changer, peut-être que pour moi, qui suis maintenat à l'écart, mais peut-être pour tout le monde, bref, je m'en vais.
Mais ou vais-je aller ? là est le problème.
Je vais y réfléchir, mais j'ai ma petite idée.

Falki, pour la première fois depuis longtemps, poussa la grande porte su manoir et entra dans ce qui avait été le quartier général de sa guilde.
Elle prit une chaise et s'assit à côté de sa grande amie.
Bien le bonjour, sir Artorus. C'est très aimable à vous de vous être déplacé. Ayant fait la connaissance de Julian lors d'une malheureuse aventure, nous avons tout deux décidé de nous allier. Hélas, l'ordre des dragonniers est tombé peu après notre rencontre. Mais j'ai appris que les membres survivants de cette guilde s'étaient reunis sous la bannière de Venecia et nous nous sommes à nouveau alliés.
Depuis, beaucoup de temps a passé et j'ai quitté ma guilde pour suivre mon époux au Cartel de Brumebois.

Sur ce, Falki sortit de son sac un gâteau de miel et l'entamma.

C'est peut-être que je suis pénible... pour son mari !
Il est vrai que j'ai été très opposée à leur union, et que je l'ai si bien fait sentir à son mari qu'il s'en est plains à Falki. A l'époque je considèrait que Falki -la traitresse était à moi.

A d'accord, mais quand même, il aurait pu faire un effort (HRP je ne les critiques pas, c'est juste que dans l'idée de la chevalerie que je me fais, le chevalier doit satisfaire les désirs de sa dame et je me dis que Falki avait peut etre pas envie de partir).
Mais sinon, pardonnez moi d'être aussi curieux, peut connaître le nom de cette guilde pour laquelle vous semblez avoir une préférence.
En attendant la réponse, Artorus dégusta son verre d'hypocrasse et songea : il faut vraiment que je lui demande la recette, c'est très rafraichissant et cela se boit comme du petit lait.

Analune, devinant les pensées du chevalier à l'égard de son vin, lui révéla :

En vérité, c'est vin additionné de miel et d'épices.
Quand à ma préference vers elle va tout simplement vers votre guilde, qui a l'air très sympa. J'adore l'ambiance qui y règne, mais je n'ose pas me présenter au recrutement.

Je m'en doutais un peu, c'est pour ca que j'ai posé la question.
Mais pourquoi n'osez vous pas? Après tout, c'est comme si vous faisiez déjà un peu partis de la famille puisque nous sommes alliés.

Ne ne sommes pas méchant et nous ne mangeons pas les exilés, (ni les autres d'ailleurs, ils sont trop coriaces). Vous seriez accueillis à bras ouvert par tout le monde et vous serez très vite intégré.
De plus, vous remplissez les conditions (niv 18 min, toute classe confondu, participer au forum et s'entraider sur la carte).

Il ne vous reste plus qu'à venir postuler (petit rp de présentation de votre personnage, motivation, classe niv plus toutes informations que vous jugerez pertinentes), en ayant pris tout de même la peine de prévenir votre baron avant et de lui expliquer votre choix.
Et ensuite, pendant la période de discution entre nous, je vous incite vivemement de participer aux posts auquels vous aurez accès.

Voila, j'espère que ces quelques informations ne vous ont pas découragé et que j'aurai très rapidemant le plaisir de voir votre candidature.

Et moi, cela me fais bizarre de croiser mes amis d'antan dans le camp opposé. Mais c'est moi qui ai choisi de partir avec lui. Depuis, on m'appelle Falki la Traîtresse.

Je t'appelles Falki-la-traitresse très chère

Falki, je peux comprendre que c'est dur pour vous. Considérée comme une traitre par vos anciens mais, peut être pas digne de confaince par vos nouveaux, heureusement que vous avez quelqu'un là bas pour vous soutenir.

En tout cas, chez nous une chose est sur, on n'intégrera plus jamais d'ancien royaliste ou d'ancien cartellois dans notre guilde, et cela pour deux bonnes raisons. A chaque fois ils sont retournés dans leur ancien alignement après un très court séjour chez nous.

Elle n'est pas du tout rejeter par ses anciens amis, en tout cas pas par moi. Bien sur je lui ai beaucoup reprocher, mais cette affaire ne vaut pas la peine de se brouiller...
Enfin à mon avis...
Falki sais de toute façon que je la désaprouve, et en contrepartie elle me préviens en cas certains de raids cartellois pour que je me cache.

J'en profite pour mettre mon RP que j'ai envoyer à Venecia.
Il est un peu long et pas génial, mais je l'ai écrit à minuit et à cette heure là je suis plus trop cappable de fonctionner correctement.

Je signale également à Artorus que je n'ai pas accés à quelque moyen de communication internet pendant deux jours, je serais donc muette pendant ce temps.


Alors que les feuilles des arbres se teignaient de belles tintes rouge orangé, une caravane fit son arrivée à Alidhan. Composée d’hommes et de femmes à la peau brune et aux traits marqués par le vent des grandes plaines, le groupe attira vite l’attention des gens de la contrée. Lors de son arrivée à la première place forte rencontrée en ces terres, la caravane se révéla être une troupe de forains, venue divertir petits et grands. Mais quel ne fut pas leur étonnement de constater que personne n’avait à l’idée de s’amuser…. Toute la cité grouillait de monde, mais personne ou presque ne d’arrêtait devant les saltimbanques et les troubadours.
Au bout d’une semaine, un vieil homme, qui semblait être le chef de la troupe, annonça aux autres qu’ils ne pouvaient plus vivre de leurs spectacles, qu’ils devaient se séparer et chercher d’autres métiers. Il ne resta bientôt qu’Analune, jeune fille qui avait fuit son pays ravagé par les marchands d’esclaves, mais ne connaissait plus personne dans cette grande ville. Elle s’endormie donc dans un bout de toile, au coin d’une ruelle. Elle passa plusieurs mois à faire la manche, devant une auberge, mais un jour une furie pénétra dans l’auberge en question ou Analune s’était réfugier à cause de la neige. La jeune fille rousse, à l’air sauvage, s’assit à côté d’Analune et commanda du vin. Cette dernière timide, se tassa sur son banc de manière à se tenir le plus loin possible de la jeune fille, et celle-ci, le remarquant, se radoucie. Elle lui expliqua qu’elle se nommait Falki, baronne de la guilde Dragon des ténèbres, et que cela la préoccupait beaucoup. Apercevant l’air d’incompréhension d’Analune, Falki lui expliqua rapidement le fonctionnement des guildes et de la terre d’Alidhan en général. Ainsi Analune appris l’existence des alignements, les royalistes des mercenaires de la pire espèce d’après Falki, les cartellois, dans le même genre, et les exilés, auquel appartenait l’archère, et qui était d’après elles les gentils. Une fois que le long monologue de Falki, vantant les exploits des exilés fut fini, Analune exposa sa situation plutôt pitoyable à sa nouvelle amie. Celle, de bonne humeur, l’encouragea plus que vivement à rejoindre son camp. Mais ne voulant pas se fier qu'à son seul avis Analune se mit à la recherche d'autres versions de l’histoire du royaume. Elle parcourue en les terres pendant un long mois gelé, et n'y constate que guerres et désolation. Elle apprit au cours de son voyage à soigner, pour apporter un peu de soutien aux malheureux. De retour, elle était fort décidé, de son plein gré et en toute connaissance de cause cette fois, à se rallier aux exilés, et elle entra dans la guilde Dragons des ténèbres ou elle fut accueillir chaleureusement. Les mois passèrent dans la joie et la bonne humeur, et petite Analune, au milieu de ses amis, grandit. Mais, comme il n’y a nul bonheur sans malheur, même infime soit-il, la belle histoire devait bien se finir un jour… Falki, alors qu’elle chassait sur des terres cartelloises, fut approchée par un élégant chevalier qui s’adressa à elle dans de fort courtois termes. Ainsi fut séduite Falki, celle qui allait devenir la traîtresse. En effet peu après, elle fit part à tous de sa décision de partir au cartel rejoindre son mari. Analune entra alors dans une terrible colère. Tout ce qu’elle lui avait enseigné, toutes ces belles valeurs, Falki allait tout bafouer ? Elle le fit pourtant, délaissant Analune, qui n’ayant jamais aimé vraiment quelqu’un ne comprit pas comment elle avait tout laisser tomber.
L’ambiance se détériora au sein de la guilde, malgré les efforts du nouveau baron, et Analune se retrouva souvent seule au quartier général, ancien lieu de joie et de fête. Un jour de grand vide, arriva Artorus, ambassadeur de Venecia, qui passait de temps en temps au quartier général. Analune, trop contente d’avoir quelqu’un à qui parler, engagea la conversation. C’est ainsi qu’elle entendit parler de Venecia. D’abord par curiosité puis par intérêt, elle s’informa sur cette guilde et en découvrit le fonctionnement. Une envie gonfla en elle, celle d’en faire partie. La bonne ambiance, le dynamisme, l’entraide et la solidarité entre ses membres lui donnée une envie irrépressible de se joindre à eux. Mais sa timidité revint, et elle n’osa en parler d’abord. Après avoir prévenu son baron qui lui donna son accord, elle finie par faire part de son intention à Artorus, qui lui conseilla de venir exposer sa demande ici.
Ainsi se présenta Analune, petite moniale niveau 20, mais motivée et courageuse.
Elle est désolée d’écrire un aussi long texte pour une si petite vie.

Ma chère Analune, tu as des talents de conteur (mais pas autant que moi , je viens d'être officiellement nommée Barde des RN et OR)